mercredi 1 novembre 2017

Finistère, mon amour

Crédit Photo : L.F Photographie


J'ai récemment découvert un coin de paradis, dans notre belle France. Sans aller bien loin, cette région de la Bretagne a instillé en moi, un sentiment d'évasion vers les paysages irlandais.

Les falaises, la lande et la mer qui se déchaînent ( adieu placide Méditerranée), on se croit au bout du monde, tout en restant, sur le même continent, dans le même pays.

Les balades prés du Crozon, Douarnenez m'ont subjugué. Et que dire de l’Île de Sein, perdue dans la Mer Celtique, rien que d'y penser, je me perds dans mes souvenirs.

Tous les paysages sont à couper le souffle et la mer, malgré son tumulte, vous apaisent et vous vivifient.

Le vent et le bruit des vagues, à nos oreilles, deviennent un chant, une ode à la nature et à ses éléments.

Tout est présent, la mer, la forêt, en quelques kilomètres, les décors et notre perception du monde change.

La pierre, par sa force, nous inspire un sentiment de sécurité et de protection.

Les paysages, à perte de vue, nous emmènent loin dans les détours de notre esprit. Ils sont également un point d'ancrage pour nous ramener à la réalité, à l'instant présent.

La mer est d'un bleu transparent ou, au contraire, sombre comme les mystères que cache ce bout de terre dont elle bat et rabat les côtes.

Locronan, de son coté, est une parenthèse hors du temps. Son charme et son authenticité vous donne envie de vous y installer et de ne jamais en repartir. La découverte d'une petite librairie celtique est un point final pour déclarer que cette ville m'a ensorcelé.

Et, pour faire taire les mauvaises langues, le soleil ne nous a pas quitté durant tout le séjour. Ses reflets, sur l'eau ou la roche, sont un ravissement, dans lequel je me suis plongée avec délectation.

Ses grottes mystérieuses, au creux des falaises, sont un élément supplémentaire, qui donne envie de se perdre dans cette région.

Vous l'aurez compris, cette région a pris mon âme et mon cœur, et je ne suis pas sûr d'avoir envie de les récupérer. C'est une excuse supplémentaire, si il en fallait une, pour retourner rapidement dans ces contrées.


Crédit Photo: L.F Photographie

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